En 2013, le capital auparavant détenu par des actionnaires de référence et les États est passé à plus de 70% à la bourse. M. Enders, le nouveau PDG a alors donné une nouvelle stratégie au Groupe dans le but de « dégager de la valeur pour les actionnaires ». En quelques mois, le cours de l’action a doublé et les dividendes ont progressé de plus de 30%. Dans le même temps, 6 entreprises du groupe subissent des plans de destruction d’emplois, les nouveaux programmes sont repoussés pour économiser sur les investissements. Le groupe tourne le dos à l’ambition industrielle qui en avait fait un fleuron européen.