Cette année encore, AIRBUS vient d’annoncer des résultats financiers mirobolants. Mais à quel prix ? L’augmentation des cadences se fait avec une réduction des effectifs, des économies sont encore réalisées sur la R&D et aucun investissement structurant n’est envisagé… Que ne ferait pas le groupe pour payer toujours plus les actionnaires ?
La CGT alerte sur les dangers de cette financiarisation de notre filière industrielle et exige une réorientation de la valeur ajoutée vers l’avenir industriel et vers l’amélioration des conditions de travail qui passe par des embauches, une augmentation des salaires et une diminution du temps de travail.